Rédigé par Gabriel
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En utilisant un modèle de plan d'interventions que l’on peut créer, consulter, appliquer et partager... facilement (1 image = 1000 mots!)

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Selon certaines études, les principaux facteurs limitants liés aux pratiques de collaboration sont le manque de temps, trop de travail, trop d'élèves par groupe et trop de groupes par enseignant, le calendrier surchargé, le peu de temps pour s'approprier le nouveau programme, un sentiment d'épuisement pour certains, un cloisonnement disciplinaire par département, des difficultés de communication, l'isolement et enfin une forte culture individualiste (Borges et Lessard, 2007).

Les difficultés de communication entre les disciplines sont souvent amplifiées par les normes en matière de confidentialité. Par exemple, chaque rapport de professionnel doit être déposé aux archives médicales, chaque personne qui a besoin de consulter ce rapport doit en faire la demande aux archives, il doit ensuite lire ledit rapport et utiliser les recommandations pour le mettre au plan d’interventions. Le plan d’intervention doit alors être déposé dans le dossier de l’élève que seules les personnes présentent lors de son élaboration y aura accès. La direction de l’école doit faire cet exercice prévu par la loi [ art. 96.14] pour, au minimum, les 20 % d’enfant HDAA.

Dans la mesure que le parent est la personne qui connait le mieux son enfant et que c’est lui qui détient les droits d’autoriser la mise en place d’un plan d’intervention, il est primordial qu’il soit impliqué davantage et que la « rédaction » de celui-ci puisse se faire sans nécessiter des connaissances approfondit dans les approches d’interventions ni demander beaucoup de leur temps.

Pour ce faire, l’ApPigraphe a misé sur un modèle utilisant des icônes pour toutes les sections prévues dans un plan d’intervention traditionnel. C’est plus de 250 icônes qui permettent aux parents de décrire visuellement leur enfant, leur famille, leur environnement, leurs objectifs... Même un enfant qui a de la difficulté à lire pourrait comprendre les grandes lignes de son ApPigraphe (et choisir les icônes qui selon lui le décrivent le mieux).

Avec le modèle ApPigraphe, l’intervenant reste le spécialiste de l’application de l’intervention, et les interventions suggérées sous l’objectif sont des orientations générales sans être décrit à la lettre. Laissant ainsi au parent la tâche de faire le portrait de son enfant, d’indiquer ce qu’il souhaite comme objectif et d’inclure les types d’interventions qu’il croit les plus efficaces, mais c’est à l’intervenant que revient la tâche de choisir dans le détail la manière d’appliquer l’intervention. L’intervenant pourrait alors se faire une grille d’observation et utiliser les légendes pour décrire brièvement l’intervention et en faire le suivi.

Par exemple le parent pourrait indiquer que les rappels visuels sont une forme d’intervention qu’il aimerait privilégier, mais c’est à l’intervenant de décider quel genre de rappel visuel (icône, photos, lumière.) qu’il compte essayer. Dans la légende de sa grille d’observation, l’intervenant pourrait indiquer jusqu’à 4 mesures des moyens de rappel visuel. Il pourrait observer la fréquence de réussite d’une routine et le temps requis avec l’utilisation d’icônes ou de photos ou en combo avec minuterie lumineuse. Ainsi, s’il se rend compte qu’en combinant minuterie et photos l’enfant réussit à faire sa routine en moins de temps que seulement avec les icônes, il pourra suggérer au parent d’essayer la même méthode de rappel visuel à la maison.

Ainsi, la mise en place et l’évaluation des interventions peuvent se faire beaucoup plus rapidement. Le parent choisi l’orientation générale, imagine la réussite, dresse le portrait visuel de son enfant... et l’intervenant est le contremaître, c’est lui qui permet de passer de l’image à la réalité.

Chacun y gagne, car le parent trouve sa place comme architecte de la réussite de son enfant, et l’intervenant demeure le maître d’œuvre qui aide par son expertise à concrétiser cette réussite.

Selon le ministère de la famille, le portrait EHDAA en 2015-2016.

Élèves handicapés et/ou en difficulté d'adaptation ou d'apprentissage (20%) sur 957 882 élèves du primaire et du secondaire
C'est 20% des 442 459 bambins de 0-5 ans qui risquent d'être handicapés et/ou en difficulté d'apprentissage ou d’adaptation à l’école...
C'est seulement 3% des 252 202 bambins fréquentant un service de garde qui reçoivent une allocation pour l’intégration d’un enfant handicapé.
. Nombre approximatif d'enfants, bambins, parents, intervenants, éducateurs, professeurs... qu'ApPigraphe peut aider
Source : https://www.mfa.gouv.qc.ca/

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